Dassault Systèmes sous le regard du CFIUS
Augmenté de FIRRMA récemment le CFIUS planche sur l’acquisition par Dassault Systèmes de Medidata, entreprise spécialisée dans les logiciels médicaux.
Augmenté de FIRRMA récemment le CFIUS planche sur l’acquisition par Dassault Systèmes de Medidata, entreprise spécialisée dans les logiciels médicaux.
Datée du 17 septembre, une note du département américain du Trésor détaille ce que sera le CFIUS de demain, revu et modernisé, aux prérogatives étendues. Cet acte de modernisation du système de contrôle des investissements devra être en place le 13 février 2020 après une période de consultation.
Le Portail de l’IE a eu la chance de s’entretenir avec Jean Luc Logel, président du cluster EDEN, seul cluster en France composé uniquement de PME de la défense et de la sécurité. A la suite, la deuxième partie de son interview consacrée aux relations, parfois houleuses, entre les PME de la défense et les grands groupes, et à l’enjeu crucial de la conquête des marchés extérieurs.
Un ancien agent de la CIA, d’origine chinoise, a plaidé coupable d’avoir transmis des informations relevant de la défense nationale à la République populaire de Chine. Ayant quitté la CIA en 2007, celui-ci vivait depuis à Hong-Kong, où il aurait été approché par les services de renseignement chinois.
L’extension du cyberespace est un phénomène global qui impose de répondre à la dépendance et à la vulnérabilité numérique des outils militaires français. Dans ce contexte, le développement de capacités de cyberdéfense efficientes s’avère incontournable. La Loi de Programmation Militaire (LPM) 2019-2025 contribue à réunir les conditions pour répondre à cet enjeu.
Le Portail de l’IE a eu la chance de s’entretenir avec Jean Luc Logel, président du cluster EDEN, seul cluster en France composé uniquement de PME de la défense et de la sécurité. Dirigeant des sociétés CENTRALP et IRIS Inspection Machines, officier de Marine de réserve opérationnelle et président de l’association des officiers de réserve de Lyon, Jean Luc Logel revient sur le parcours, le développement international et les défis de ce cluster atypique, qui est devenu un acteur incontournable dans le soutien de la BITD en France et à l’export.
Les ESSD françaises (entreprises de services de sécurité et de défense) entament leur essor à partir de la fin des années 90. Elles sont aujourd’hui reconnues dans la dispense de certains services, parfois critiques à la vie des entreprises. Ces sociétés sont pourtant peu nombreuses, avec des chiffres d’affaires allant, pour les plus importantes, de 10 à 30 millions d’euros environ : Groupe Geos, Risk&Co, Amarante International, Erys Group et Æneas Groupe.
En mars 2019, l’Inde est devenu le quatrième pays, après les États-Unis, la Russie et la Chine, à prouver sa capacité à détruire un satellite en orbite basse en détruisant son propre engin spatial. Le Premier ministre indien Modi décrit cet exploit comme un accomplissement majeur permettant à l’Inde de devenir une véritable puissance spatiale. Cet essai réussi s’inscrit dans la dynamique mondiale de militarisation de l’espace et le développement d’armes antisatellites basées sur Terre, dans la stratosphère ou dans l’espace. Mais cette course moderne à l’armement qui se déroule dans l’espace engendre des crispations géopolitiques considérables.
Mardi 5 février 2019, s’est tenu, à l’Innovation Defense lab (IDL), l’atelier « source ouverte » organisé par Intelligence Campus. Cet atelier avait pour but d’échanger entre experts de la Direction du Renseignement Militaire (DRM) et divers spécialistes issus du secteur civil. Le Portail de l’Intelligence Économique a assisté aux échanges qui ont eu lieu autour des problématiques liées à la recherche et au traitement de l’information en Open Source.
Ancien élève de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr, du Command and General Staff College (école de guerre américaine) et de l’École de Guerre, le Général d’armée (2S) Didier Bolelli a commandé successivement le 13ème RDP, le bureau « recherche humaine » au sein de la brigade de renseignement de l’Armée de terre et le « bureau réservé » du cabinet du ministre de la Défense. Spécialiste du renseignement, il est nommé en 2004 directeur des opérations de la DGSE et commandera ensuite la DPSD et la DRM. Son dernier poste aura été Inspecteur général des Armées/ Terre. De 2008 à 2013, il a été membre de la coordination nationale du renseignement. Depuis 2014, il est président de la société GEOS.