
Infographie – Les moyens de lutte anti-drone
Plus petits, moins coûteux et plus agiles, les drones civils modifiés ont vu leur utilisation augmenter depuis l’Irak. Face à cette évolution, un écosystème industrialo-militaire dédié à la lutte contre
Plus petits, moins coûteux et plus agiles, les drones civils modifiés ont vu leur utilisation augmenter depuis l’Irak. Face à cette évolution, un écosystème industrialo-militaire dédié à la lutte contre
Samedi 18 janvier, la Haute assemblée a adopté le budget de la Défense. Ce dernier en hausse de 3,3 milliards d’euros et suit donc la trajectoire de la loi de programmation militaire 2024-2030. Le sénateur Jean-Baptiste Lemoyne a salué un budget respectueux des forces et du vote des parlementaires.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, qui entre désormais dans sa troisième année, a mis en évidence les limites du complexe militaro-industriel russe : baisse des exportations, forte dépendance à ses alliés pour la production nationale, difficultés à innover, etc. Le programme de construction des frégates de premier rang de la classe Admiral Gorshkov, ou projet 22350, avait par exemple pour ambition de remplacer les frégates soviétiques de classe Neutrashimiy et Krivak. L’objectif de modernisation de la marine russe affiché par le Kremlin a cependant dû faire face à de nombreux échecs – retards à répétition, performances limitées – qui ont conduit à un déploiement de ces frégates loin des théâtres d’opérations.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, qui entre désormais dans sa troisième année, a mis en évidence les limites du complexe militaro-industriel russe : baisse des exportations, forte dépendance à ses alliés pour la production nationale, difficultés à innover, etc. Pour combler cela, la Russie s’appuie donc sur le soutien technologique et logistique de partenaires comme la Biélorussie et l’Iran.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, qui entre désormais dans sa troisième année, a mis en évidence les limites du complexe militaro-industriel russe : baisse des exportations, forte dépendance à ses alliés pour la production nationale, difficultés à innover, etc. Malgré une certaine résilience, son industrie de défense affiche des faiblesses structurelles qui compromettent sa capacité à soutenir un effort de guerre prolongé en Ukraine.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, qui entre désormais dans sa troisième année, a mis en évidence les limites du complexe militaro-industriel russe : baisse des exportations, forte dépendance à ses alliés pour la production nationale, difficultés à innover, etc. Au regard des problèmes d’approvisionnement et de la hausse des dépenses militaires, la Russie a dû prioriser ses besoins nationaux au détriment de ses engagements à l’exportation. Cette réorientation stratégique a entraîné des retards de livraison et affaibli la compétitivité de l’industrie de défense russe sur les marchés internationaux.
Face à l’évolution des menaces maritimes et géopolitiques, le vieillissement de l’avion de patrouille Atlantique 2 a conduit la France à adopter un nouvel appareil : l’A321 MPA. Ce choix vise à renforcer l’autonomie de la France en matière de défense maritime, tout en soutenant les ambitions de coopération européenne.
Pour s’adapter aux bouleversements géopolitiques, la France a dévoilé une nouvelle feuille de route pour son industrie de défense. L’augmentation de la production, la refonte des normes et le développement de pôles d’excellence régionaux sont au cœur de cette stratégie.
Rheinmetall et Leonardo ont annoncé le 15 octobre un nouveau partenariat stratégique, qui vient directement concurrencer l’acteur franco-allemand historique du secteur, KNDS. Cette coentreprise nommée Leonardo Rheinmetall Military Vehicles (LRMV),
Le réchauffement climatique contraint le gouvernement canadien à repenser la vision de sa défense. Le Canada, qui dispose du plus long littoral au monde, a publié en avril dernier une nouvelle stratégie de défense nommée « Notre Nord, fort et libre ». Le rapport souligne que, bien que le changement climatique soit un enjeu mondial, ses conséquences se manifestent de manière particulièrement aiguë dans l’Arctique canadien. Ce réchauffement rapide, quatre fois plus élevé que la moyenne mondiale, suscite de vives préoccupations chez les autorités, qui doivent affronter ces menaces dans des conditions climatiques extrêmes et avec des infrastructures encore peu développées.