
L’hygiène informatique, une problématique majeure en entreprise
75% des employés ont du mal à identifier les bonnes pratiques et les comportements adéquats en matière de protection des données et de cybersécurité selon une étude récente (1).
75% des employés ont du mal à identifier les bonnes pratiques et les comportements adéquats en matière de protection des données et de cybersécurité selon une étude récente (1).
Séoul met en place une structure chargée d’aider son industrie de défense à pénétrer les marchés étrangers. Avec un marché intérieur insuffisant, les industriels sud-coréens cherchent à tirer parti de l’augmentation de la demande mondiale.
Le livre Heineken en Afrique : une multinationale décomplexée aux éditions La rue de l’échiquier, écrit par Olivier Van Beemen, met les projecteurs sur un marché opaque directement issu de la période coloniale en Afrique : celui de la bière.
Suite au retrait des Américains de l’accord sur le nucléaire iranien, les Européens tentent de tout leur poids de poursuivre les échanges avec la République Islamique. Ils essayent de créer un système de paiement indépendant pour contourner les sanctions américaines. Or, comme de coutume, l’Europe est victime de sa propre désunion.
« Les acteurs américains déploient une stratégie de conquête des marchés à l’export qui se traduit, à l’égard de la France en particulier, par une politique offensive en faveur de leurs intérêts économiques », relatent les analystes de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) dans un document daté du 12 avril 2018 et adressé à l’exécutif.
Si tous les dirigeants d’entreprise admettent la nécessité de prendre en compte les risques liés à la chaîne d’approvisionnement dans leur gestion des risques, peu investissent dans l’anticipation de sa survenance. La mondialisation a considérablement modifié la nature de la supply chain ; la rendant plus efficace mais surtout plus vulnérable au « mouvement d’aile d’un papillon situé à l’autre bout du monde ». La qualité du « management » de la supply chain et son suivi de bout en bout, font partie des conditions de réussite d’une entreprise. Dès lors, comment identifier les enjeux, analyser les risques, et anticiper leurs survenances ?
Le Portail de l’IE est allé à la rencontre d’Antoine Violet-Surcouf, président de l’AEGE, pour revenir sur l’ « Influence Day », colloque qui s’est déroulé à l’École de guerre économique (EGE) le 14 novembre. Le président de l’AEGE souligne l’importance de mettre en œuvre des pratiques d’influence en entreprise à l’ère nouvelle des « infox ».
Le 19 septembre 2018 est sortie une étude dans le cadre du Projet le Politoscope (CNRS Institut des Systèmes Complexes Paris Ile-de-France), décortiquant la présidentielle vue par Twitter. En 2016, c’est la campagne américaine qui a été bousculée par l’émergence de l’utilisation à haute dose de ce réseau social, avec notamment la Russie pointée du doigt. Twitter semble être devenu une arme redoutable en période électorale. Entre cartographie en temps réel de la communauté politique et diffusion de fake news, la guerre informationnelle se mesure aisément grâce à un réseau qui tend à devenir un outil d’influence puissant.
L’analyse de la concurrence entre plusieurs acteurs économiques se restreint régulièrement à la seule prise en compte des entreprises ou des États. Pourtant, les leaders d’opinion, comme les associations, les personnalités médiatiques et plus largement la sphère sociétale demeurent des acteurs incontournables. Le cas Volkswagen comme le cas Europacity plus récent en constituent deux exemples.
Le 15 Octobre 2018, après 3 ans et 6 mois de fermeture, la frontière entre la Jordanie et la Syrie a réouvert. Damas a applaudi la réouverture de ce point stratégique et espère réimposer son influence dans la région. Amman, qui a hésité avant de passer à l’action, veut se positionner comme décideur en définissant des conditions sur le contrôle et le transit.
75% des employés ont du mal à identifier les bonnes pratiques et les comportements adéquats en matière de protection des données et de cybersécurité selon une étude récente (1).
Séoul met en place une structure chargée d’aider son industrie de défense à pénétrer les marchés étrangers. Avec un marché intérieur insuffisant, les industriels sud-coréens cherchent à tirer parti de l’augmentation de la demande mondiale.
Le livre Heineken en Afrique : une multinationale décomplexée aux éditions La rue de l’échiquier, écrit par Olivier Van Beemen, met les projecteurs sur un marché opaque directement issu de la période coloniale en Afrique : celui de la bière.
Suite au retrait des Américains de l’accord sur le nucléaire iranien, les Européens tentent de tout leur poids de poursuivre les échanges avec la République Islamique. Ils essayent de créer un système de paiement indépendant pour contourner les sanctions américaines. Or, comme de coutume, l’Europe est victime de sa propre désunion.
« Les acteurs américains déploient une stratégie de conquête des marchés à l’export qui se traduit, à l’égard de la France en particulier, par une politique offensive en faveur de leurs intérêts économiques », relatent les analystes de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) dans un document daté du 12 avril 2018 et adressé à l’exécutif.
Si tous les dirigeants d’entreprise admettent la nécessité de prendre en compte les risques liés à la chaîne d’approvisionnement dans leur gestion des risques, peu investissent dans l’anticipation de sa survenance. La mondialisation a considérablement modifié la nature de la supply chain ; la rendant plus efficace mais surtout plus vulnérable au « mouvement d’aile d’un papillon situé à l’autre bout du monde ». La qualité du « management » de la supply chain et son suivi de bout en bout, font partie des conditions de réussite d’une entreprise. Dès lors, comment identifier les enjeux, analyser les risques, et anticiper leurs survenances ?
Le Portail de l’IE est allé à la rencontre d’Antoine Violet-Surcouf, président de l’AEGE, pour revenir sur l’ « Influence Day », colloque qui s’est déroulé à l’École de guerre économique (EGE) le 14 novembre. Le président de l’AEGE souligne l’importance de mettre en œuvre des pratiques d’influence en entreprise à l’ère nouvelle des « infox ».
Le 19 septembre 2018 est sortie une étude dans le cadre du Projet le Politoscope (CNRS Institut des Systèmes Complexes Paris Ile-de-France), décortiquant la présidentielle vue par Twitter. En 2016, c’est la campagne américaine qui a été bousculée par l’émergence de l’utilisation à haute dose de ce réseau social, avec notamment la Russie pointée du doigt. Twitter semble être devenu une arme redoutable en période électorale. Entre cartographie en temps réel de la communauté politique et diffusion de fake news, la guerre informationnelle se mesure aisément grâce à un réseau qui tend à devenir un outil d’influence puissant.
L’analyse de la concurrence entre plusieurs acteurs économiques se restreint régulièrement à la seule prise en compte des entreprises ou des États. Pourtant, les leaders d’opinion, comme les associations, les personnalités médiatiques et plus largement la sphère sociétale demeurent des acteurs incontournables. Le cas Volkswagen comme le cas Europacity plus récent en constituent deux exemples.
Le 15 Octobre 2018, après 3 ans et 6 mois de fermeture, la frontière entre la Jordanie et la Syrie a réouvert. Damas a applaudi la réouverture de ce point stratégique et espère réimposer son influence dans la région. Amman, qui a hésité avant de passer à l’action, veut se positionner comme décideur en définissant des conditions sur le contrôle et le transit.