Pétrole : l’AIE aurait pu anticiper
Dans « L’héritage de Kadhafi aux marchés pétroliers » publié le 22 février 2011, nous appelions l’OPEP à « agir vite » pour anticiper les difficultés d’approvisionnements en Libye.
Dans « L’héritage de Kadhafi aux marchés pétroliers » publié le 22 février 2011, nous appelions l’OPEP à « agir vite » pour anticiper les difficultés d’approvisionnements en Libye.
Le degré d’empathie des populations face aux nouvelles problématiques engendrées par les crises successives repose sans doute sur le partage de valeurs ou de destinées communes. Pourtant, l’Europe apparaît aujourd’hui divisée sur les questions d’énergie, d’intervention militaire ou économique dans les pays où la crise se fait sentir de façon plus aigüe.
L’Inde offre aujourd’hui des opportunités économiques extraordinaires. Avec 1,2 Milliards d’habitants dont la moitié a moins de 25 ans et une croissance supérieure à 8% le pays est en passe de devenir une superpuissance où pourtant tout reste encore à faire.
« Nous traversons une période de volatilité extraordinaire des prix des denrées alimentaires, qui pourrait véritablement porter u n préjudice irréparable à la plupart des pays et des populations les plus vulnérables (…) Le niveau élevé, l’incertitude et la volatilité des prix représentent la plus grave menace qui pèse sur les plus vulnérables dans le monde en développement.» Robert Zoellick, Président du Groupe de la Banque mondiale.
C’est une évidence, Bruxelles est devenue un centre de pouvoir incontournable sur un plan politique et législatif, non seulement à l’échelle européenne mais aussi sur un plan mondial.
La stratégie de marque d’une société s’exprime via l’appellation : cette dernière est son expression la plus visible et compréhensible aux yeux de tous. Dans un contexte de concurrence forte, il est indispensable, pour un grand groupe, d’être reconnu et identifié.
« Avoir une stratégie ou mourir » : tel est l’appel lancé par différentes parties prenantes pour sauver l’industrie de la Défense française et européenne condamnée pour certains à moyen terme.
C’est maintenant fait : même sans atteindre le consensus politique sur la forme, le parlement français, vient, au nom du principe de précaution d’interdire l’exploitation des réserves de gaz de schiste du sous-sol français.
Nul besoin de le rappeler une énième fois, la catastrophe de Fukushima a été un évènement dramatiquement majeur de cette année 2011 et devrait avoir de grave répercussions pour l’avenir tant économique que sanitaire du Japon et de ses côtes.
Quoi de plus basique et trivial que des matériaux de construction, des produits dont le prix moyen de vente est de quelques centimes le kilo ? Ce serait une erreur de croire que l’IE est étrangère à ce secteur discret mais qui pèse des milliards d’Euros et implique des groupes d’envergure mondiale.
Dans « L’héritage de Kadhafi aux marchés pétroliers » publié le 22 février 2011, nous appelions l’OPEP à « agir vite » pour anticiper les difficultés d’approvisionnements en Libye.
Le degré d’empathie des populations face aux nouvelles problématiques engendrées par les crises successives repose sans doute sur le partage de valeurs ou de destinées communes. Pourtant, l’Europe apparaît aujourd’hui divisée sur les questions d’énergie, d’intervention militaire ou économique dans les pays où la crise se fait sentir de façon plus aigüe.
L’Inde offre aujourd’hui des opportunités économiques extraordinaires. Avec 1,2 Milliards d’habitants dont la moitié a moins de 25 ans et une croissance supérieure à 8% le pays est en passe de devenir une superpuissance où pourtant tout reste encore à faire.
« Nous traversons une période de volatilité extraordinaire des prix des denrées alimentaires, qui pourrait véritablement porter u n préjudice irréparable à la plupart des pays et des populations les plus vulnérables (…) Le niveau élevé, l’incertitude et la volatilité des prix représentent la plus grave menace qui pèse sur les plus vulnérables dans le monde en développement.» Robert Zoellick, Président du Groupe de la Banque mondiale.
C’est une évidence, Bruxelles est devenue un centre de pouvoir incontournable sur un plan politique et législatif, non seulement à l’échelle européenne mais aussi sur un plan mondial.
La stratégie de marque d’une société s’exprime via l’appellation : cette dernière est son expression la plus visible et compréhensible aux yeux de tous. Dans un contexte de concurrence forte, il est indispensable, pour un grand groupe, d’être reconnu et identifié.
« Avoir une stratégie ou mourir » : tel est l’appel lancé par différentes parties prenantes pour sauver l’industrie de la Défense française et européenne condamnée pour certains à moyen terme.
C’est maintenant fait : même sans atteindre le consensus politique sur la forme, le parlement français, vient, au nom du principe de précaution d’interdire l’exploitation des réserves de gaz de schiste du sous-sol français.
Nul besoin de le rappeler une énième fois, la catastrophe de Fukushima a été un évènement dramatiquement majeur de cette année 2011 et devrait avoir de grave répercussions pour l’avenir tant économique que sanitaire du Japon et de ses côtes.
Quoi de plus basique et trivial que des matériaux de construction, des produits dont le prix moyen de vente est de quelques centimes le kilo ? Ce serait une erreur de croire que l’IE est étrangère à ce secteur discret mais qui pèse des milliards d’Euros et implique des groupes d’envergure mondiale.